* Féline *
Féline, c'est a pas de velours que j'approche derrière vous
Frissonnez par cette sensation de chaleur
qu'est mon souffle
Mes lèvres s'entre-ouvrent
délicatement et
s'avancent en appétit à votre cou
Se délectant avec
gourmandise et frénésie, ma langue vous savoure
Mes mains se glisses sous
votre chemise qui se froisse
Et
se guide langoureusement sur votre peau devenu suave
Parcourant
ainsi vos courbes sinueuses en
ouvrage
Mes ongles vous
lacèrent timidement
mais avec tant d'audace
Je perçois la température en ébullition et je
vous sent vous fondre
Vous ne
tenez plus par la caresse de ma main qui
vous comble
Et ma bouche insatiable devient plus entrain à l'avidité de passion
Laissons nous aller jusqu'au petit matin qui nous
surplombe...
( N@th... Le 03/2009 )